Les nanoparticules présentent un danger potentiel important. Les industriels ont profité de la lenteur naturelle des autorités de surveillance pour s’engouffrer dans ces technologies qui permettent des sauts technologiques importants sans toutefois en contrôler tous les effets.
A partir de 2013 tout importateur, tout producteur, devra déclarer les quantités et les types de nanoparticules au delà de 100 g/an. Toutefois, les produits modifiés aux nanoparticules ne sont pas soumis à cette règle.
La contenance de nanoparticules dans un produit élaboré doit être mentionné sur l’emballage, mais pas le risque de toxicité. Or, on suspecte déjà fortement certaines de ces nanoparticules d’être cancérigènes.